torah 777
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jésus ne nous parle pas de fluide cosmique
mais bien d’amour
et l’amour de jésus est pareil que dieu
dieu a le meme amour que peut posseder un homme
quand jésus nous parle d’amour de dieu
ce n’est pas une metaphore
jésus a montré l’amour de dieu
et cet amour de dieu c’est comme celui de l’homme quand l’homme fait acte d’amour
n’oublier pas dieu nous a fait a son image
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Le Coran ne dit pas que Dieu préfère les musulmans aux autres de manière absolue ou exclusive. Ce que le Coran enseigne, c’est que Dieu aime ceux qui croient en Lui, qui font le bien, qui sont justes et pieux, quelle que soit leur origine ou communauté. Voici quelques éléments clés : 1. Dieu juge selon la foi et les actions « Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. » (Sourate 49, verset 13) Ce verset montre que la supériorité ne dépend ni de l’ethnie, ni de la religion d’origine, mais de la piété (taqwa). 2. Reconnaissance des autres communautés « Ceux qui ont cru, ceux qui se sont judaïsés, les Chrétiens, et les Sabéens, quiconque d’entre eux croit en Dieu et au Jour dernier et fait le bien, alors leur récompense est auprès de leur Seigneur. » (Sourate 2, verset 62) Cela signifie que le salut est possible pour les non-musulmans, s’ils ont foi en Dieu, au Jour dernier, et qu’ils agissent avec droiture. 3. Le libre arbitre et la diversité des religions « Pas de contrainte en religion. Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. » (Sourate 2, verset 256) « Et si ton Seigneur avait voulu, tous les hommes sur la terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (Sourate 10, verset 99)
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Sourate Qaf (50), verset 16 :
« Nous avons certes créé l’homme et Nous savons ce que son âme lui suggère. Et Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire. »
777
c’est ce que je me tue a vous dire
le corps de l’homme c’est le corps de dieu
dieu est dans toute la matière de l’univers
dieu sais ce que vous penser
dieu nous a fait a szon image
et je vous assure que tout ce que ressent l’homme dieu ressent de la souffrance aussi
la tristesse la joie
de l’amour ect…
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pour moi si l’homme veut a travers la purification veut il peut atteindre l’éveil
alors je ne dirait pas facilement cela prend des heures et des heure des milliers d’heure de reflexion
des ,anné de souffrance pour comprendre l’homme
mais ce que je veut dire si l’homme se dit je doit atteindre l’eveil de toute mes forces de toute mon ame
il y arrivera a atteindre l’eveil
le nirvana
pour moi seul jésus et bouddha oon atteind le nirvana
moi j’ai esayer de prendre cette dirrection
mais je me suis casser les dents tellement s’est dur
une vie sans péché
mais c’est impossible
par contre l’eveil peut etre une chose magnifique et plus facile atteindre
il y a des justes et des repentis qui ont atteint l’eveil mais ils ne le savent meme pas
attention si vous voulez atteindre l’éveil il vos faut moulte courage et moulte effort
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L’attachement naît de l’illusion que les choses sont permanentes. Mais tout est impermanent (anicca), et vouloir retenir ce qui change constamment mène à la frustration. Par exemple, s’attacher à une personne ou à un statut, c’est s’exposer à la douleur de la perte ou du changement.
777
et dieu c’est une illusion qu’il soit permanent
je crois pas!!!!!!!!!!!!!!!!
et sachez que toutes les vie que vous avez faite
est marqué sur le disque dur de dieu
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Oui, selon les enseignements du Bouddha, l’attachement est une source de souffrance.
Dans le bouddhisme, cette idée est centrale. Elle fait partie des Quatre Nobles Vérités, qui forment le cœur de l’enseignement du Bouddha :
La vérité de la souffrance (dukkha) : La vie implique la souffrance, l’insatisfaction, le mal-être.
La vérité de l’origine de la souffrance : La cause de cette souffrance est le désir, l’attachement (au plaisir, aux objets, aux personnes, aux idées…).
La vérité de la cessation de la souffrance : Il est possible de mettre fin à cette souffrance en éliminant l’attachement.
La vérité du chemin : Il existe un chemin (le Noble Sentier Octuple) pour y parvenir.
L’attachement naît de l’illusion que les choses sont permanentes. Mais tout est impermanent (anicca), et vouloir retenir ce qui change constamment mène à la frustration. Par exemple, s’attacher à une personne ou à un statut, c’est s’exposer à la douleur de la perte ou du changement.
Cela ne veut pas dire qu’il faut cesser d’aimer ou de s’investir, mais plutôt apprendre à vivre les relations et les expériences avec lucidité, compassion, et non-attachement.
777
putain bouddha a fumer ou quoi!!!!!!!!!!!!!!!!
et l’attachement de dieu c’est quand meme du long therme
alors on a plus le droit d’aimer sa famille ses amis
pourtant quand on va mourir on va revoir notre familles et nos amis mort dans les cieux
alors on va tous aller dans la foret
non je rigole!!!!!!!!!!!!!!
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Le Nirvana, dans le bouddhisme, est l’état ultime de libération et d’éveil. C’est ce que le Bouddha a atteint après avoir médité profondément sous l’arbre de la Bodhi. Ce n’est pas un lieu comme un paradis, mais plutôt une extinction — l’extinction du désir, de la haine et de l’ignorance, qui sont les racines de la souffrance selon l’enseignement bouddhiste.
Concrètement, atteindre le Nirvana signifie :
Pour Bouddha, tout être humain a le potentiel d’atteindre le Nirvana en suivant le Noble Chemin Octuple, une voie de sagesse, d’éthique et de discipline mentale.
777
c’est pour clea que bouddha me laisse perplex des fois
le désir
on est sur terre avec les maladies les guerre
et on aurait meme pas le droit de se faire un petit plaisir de temps en temps
tant que cela ne vient pas une obsession du desir comme des bien matériel
alors oui on peut s’amuser sur terre un peu la vie est déja assez triste comme cela
après je n’oublie pas la purifaction de l’ame
et si dieu a créé la vie c’est pour ressentir les choses
mais dieu a besion de la vie et de l’homme
alors qu’on vient sur terre pour devenir des etres de lumière je doute!!!!!!!!!!!!
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Oui, selon l’islam, les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans adorent le même Dieu unique — le Dieu d’Abraham. Le Coran affirme clairement que Dieu (Allah en arabe) s’est révélé à travers des prophètes tels que Moïse (Moussa), Jésus (‘Issa) et bien sûr Muhammad. Voici quelques points essentiels pour mieux comprendre :
Le Coran reconnaît que les Juifs (Banu Isra’il) ont reçu des révélations divines, notamment la Torah donnée à Moïse. Le Dieu qu’ils adorent est considéré comme le même Dieu unique et transcendant.
Coran, sourate 29, verset 46 :
« Notre Dieu et votre Dieu est un ; et c’est à Lui que nous nous soumettons. »
Le Coran affirme que Dieu a envoyé des Écritures avant le Coran : la Torah (Tawrat), les Psaumes (Zabur) et l’Évangile (Injil). Ces révélations venaient du même Dieu, mais l’islam enseigne que les versions actuelles ont été altérées.
Les Juifs et les Chrétiens sont appelés « gens du Livre » dans le Coran. Ils sont reconnus comme ayant reçu des révélations divines antérieures à l’islam.
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Dans le bouddhisme, oui, en théorie, tout le monde peut atteindre le nirvana, mais cela dépend de plusieurs facteurs.
Dans la plupart des traditions bouddhistes, on considère que tous les êtres sensibles ont en eux le potentiel d’atteindre l’éveil (ou nirvana). Cela vient du concept de la bouddhéité (ou nature de Bouddha), surtout développé dans le bouddhisme Mahāyāna. Selon cette idée, chaque être humain (et même les autres formes de vie sensibles) a en lui la capacité d’atteindre l’illumination.
Cependant, atteindre le nirvana demande des efforts considérables : suivre le Noble Sentier Octuple, cultiver la sagesse, la discipline éthique, la méditation, et purifier son karma. Les attachements, les désirs, et l’ignorance sont les principaux obstacles.
Theravāda : met l’accent sur l’idéal de l’arhat, quelqu’un qui atteint le nirvana pour lui-même. Selon cette tradition, l’éveil est possible, mais très difficile et souvent vu comme un accomplissement rare.
Mahāyāna : insiste sur le chemin du bodhisattva, qui cherche à atteindre l’éveil non seulement pour soi, mais pour aider tous les êtres. Ici, le nirvana est considéré comme ultimement atteignable par tous.
Le bouddhisme reconnaît que le chemin peut s’étendre sur plusieurs vies. Même si une personne ne l’atteint pas dans cette vie, ses efforts peuvent porter fruit plus tard.
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